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- 71, rue Sainte-Catherine , La Malbaie, QC, Canada, Quebec
L'organisme Notre mission
Le Centre-Femmes aux Plurielles est un milieu de vie pour toutes les femmes qui a pour objectifs de briser leur isolement social et d’améliorer leurs conditions de vie. Lieu d’accueil et d’écoute, le Centre propose des activités qui permettent l’échange et l’entraide en toute confidentialité. Il favorise le développement de l’autonomie et la prise en charge individuelle et collective.
Notre histoire
Incorporation du Centre-Femmes l’Envolée.
Mise sur pied d’un service d’écoute et de support, d’accompagnement juridique et médical, d’activités éducatives et de sensibilisation, de formations, d’ateliers, de soupers communautaires, de cafés-rencontres et d’expositions collectives.
Le Centre devient le Centre-Femmes aux Plurielles.
Début des cuisines collectives.
Mise sur pied du groupe d’entraide « Antidote ».
Mise en service de la halte-garderie « La Nacelle ».
Mise sur pied d’un service de dépannage de biens utilitaires.
Production d’un bulletin de liaison mensuel « Le SPM ».
Mise sur pied de la coopérative de travail « La Récidive ».
Création du prix Hommage Laure-Gaudreault.
Début du réseau d’échange de biens et services « La Ruche ».
Mise en place du programme « Vision-Travail dans Charlevoix »
Début du projet « À égalité pour décider ».
Mise sur pied du service de transport collectif « Taxibus ».
Participation à la 1ere Marche Mondiale des Femmes à Montréal.
Recherche sur les besoins en matière d’agressions à caractère sexuel dans Charlevoix, laquelle donnera naissance au CALACS de Charlevoix.
Le Centre-Femmes devient propriétaire de ses locaux situés à Cap-à-l’Aigle.
Campagne de financement pour la rénovation pour la rénovation du bâtiment abritant le Centre.
Première édition de l’exposition collective « Visu’Elles »
Lors du souper de Noël des membres, la grande salle du Centre est nommée Salle Julie-Dufour en hommage à Julie, ancienne employée décédée tragiquement en 1998.
Participation à la 2e Marche Mondiale des Femmes à Québec.
Début du réseau des femmes « Les Femmeuses ».
Mise en place des Jardins Communautaires et Collectifs « Sol I d’Air ».
Mise sur pied des activités de « L’instant présent » ainsi que deux groupes d’entraide (un sur la séparation et un autre sur l’image corporelle et les troubles alimentaires).
Le Centre participe à une étude de la Chaire Claire-Bonenfant de l’Université Laval, laquelle aboutira à la création du personnage fictif de Madame Dubien sur Facebook.
Le Centre remporte le Prix Égalité 2008 remis par le Ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine pour la réalisation de la trousse sur la conciliation travail/vie personnelle.
Dans le cadre de la 3e Marche Mondiale des Femmes, le Centre organise une marche locale et participe également à la marche provinciale à Rimouski.
Création d’un évènement bénéfice annuel qui deviendra un incontournable, le Danse-o-thon.
Fin du projet « À égalité pour décider »
Participation à la 4e Marche Mondiale des Femmes à Trois-Rivières.
Lors de travaux préparatoires pour la rénovation d’une salle au sous-sol du bâtiment, il y a découverte de moisissures et de spores de moisissures. Ce qui mettra fin à ce projet.
Début d’une réflexion sur l’avenir du bâtiment. Constat : le Centre doit se relocaliser.
« Vision-travail » devient un Service d’Aide à l’Emploi avec accompagnement individuel et personnalisé.
La recherche d’un nouveau bâtiment reprend de façon intensive.
En mars, la pandémie de Covid-19 frappe de plein fouet le monde entier et force le Centre à adapter ses activités et à verser en télétravail jusqu’en juin.
L’équipe revient au Centre en août mais doit retourner en télétravail en octobre.
« Vision-Travail » (Service d’Aide à l’Emploi) devient « Option toi ».
Le Centre ouvre ses portes durant l’été pour la première fois de son histoire.
Une action locale pour souligner la Marche Mondiale des Femmes annulée en 2020 est organisée avec les autres organismes de femmes de la région.
Une offre d’achat est faite et acceptée pour le bâtiment du 71, rue Sainte-Catherine à la Malbaie.
Une campagne de financement pour la relocalisation de l’organisme est mise sur pied
Signature en février pour l’achat du bâtiment et annonce officielle dans les médias.
Début des travaux en mars.
Adieu Cap-à-l’Aigle sera la dernière activité au 62, rue de la Grève. Une souper et des hommages ont réunis plusieurs femmes pour l’occasion.
Le Centre déménage enfin en juin.
Le Centre reste ouvert pour un deuxième été consécutif.
Inauguration officielle et portes ouvertes en octobre.
La grande salle reprend le nom de Julie-Dufour et l’espace des employées devient l’Espace Hélène Dufour, ancienne coordonnatrice du Centre.
Le Centre complète sa première année dans son nouveau bâtiment et fait quelques adaptations dont l’ajout d’une salle de conférence et de rencontre.
La salle de conférence portera désormais le nom de l’Espace Hélène Dufour.
L’équipe de travail et le conseil d’administration entament une réflexion sur la structure organisationnelle du Centre. Constat : un mode de gestion tendant vers la cogestion est, d’un commun accord, choisi et les processus pour y arriver s’enclenchent.
Le Centre change d’image de marque et de de logo et met en ligne un nouveau site web.